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BLOG : ART, ARTICLES & SOPHROLOGIE

Ce Blog a pour vocation de diffuser des articles et des réflexions sur la sophrologie, ainsi qu'une mise en lien de celle-ci avec des oeuvres lui étant parfois, en apparence, étrangères. Ceci, dans le but de vous faire appréhender plus facilement ses notions. Vous êtes cordialement invités à donner vos impressions et à partager vos expériences!

  • Concilier infos quotidiennes et Bien-Être

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    Je suis frappée, comme beaucoup, par le flot ininterrompu de nouvelles relayées par la télévision, la radio, les journaux, l'internet... sans compter les commentaires du voisin à qui on avait pourtant rien demandé, ceux des commères à l'épicerie, de voyageurs dans le métro, des collègues au bureau, des amis, de la famille et encore tout ce qu'on a glané en marchant dans la rue, les gros titres des magazines, les affiches officielles ou sauvages, les tracts dans les boites aux lettres, nos téléphones... j'en oublie forcément. Il est vraiment très difficile d'échapper à "l'Information". 

    Cette information quotidienne est sensée nous apprendre ce qui s'est passé dans le monde, à côté de chez nous ou à l'autre bout de la terre (beaucoup de ses nouvelles étant délivrées quasi en direct pour être "au plus près" des événements). Elle nous est la plupart du temps donnée par des gens de métier (journalistes, reporters, photographes...) qui, par le biais de rubriques, chroniques, émissions, etc, filtrent ce qu'ils jugent devoir ou pouvoir intéresser le grand public, analysent (plus ou moins) l'événement pour juste nous "aider à comprendre" ou "alerter", "témoigner", "questionner", "supputer des conséquenses", enfin tout ce qui pousse certainement à la vocation d'exercer ces métiers.

    Loin de moi le dessein de critiquer ceux dont l'information est le métier ou de porter un jugement qualitatif sur ces professions importantes. Cette entrée en matière est destinée à souligner l'omniprésence de "l'information" dans nos vies et rappeler aussi qu'elle est le fruit de choix réalisés pour nous, lecteurs, spectateurs ou auditeurs de tout crin... Il est flagrant que ces choix sont pour la plupart les plus "CHOC" et c'est souvent malheureureusement qu'on estime les plus sombres, les plus inquiétants ou catastrophiques, dignes de capter notre attention. L'accumulation des moyens de diffusion des nouvelles devient alors un terrible amplicateur de ce fonctionnement anxiogène. C'est ainsi que des avalanches de drames, de gravité variable, se déversent sur et dans nos têtes, nos corps, à toute heure du jour ou de la nuit. Alors, comment peut-on encore s'étonner d'entendre régulièrement autour de soi que "ça va mal", certains confessant même que leur vie n'est pas si mal mais "ils ne savent pas", "pas le moral", "découragés", "anxieux"...? Et je ne m'étendrai pas sur ceux qui ne disent rien mais dont les maux physiques témoignent tout autant. 

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    Photograph by H. Armstrong Roberts, Retrofile/Getty Images

    S'il apparait aisément que la responsabilité des sujets traités implique tous les rouages élaborant, relayant et diffusant ces informations, il est important de signifier la responsabilité de chacun, consommateur de cette information plus ou moins toxique à haute dose et d'insister sur la liberté de filtrage de cette information que nous pouvons exercer pour notre bien-être. Il est tout aussi salutaire de défendre le droit à l'information que le droit de la consommer avec modération. A-t-on vraiment obligation de tout savoir? (ou de le croire...) Quels sont les véritables enjeux dans le fait de connaître tous les jours, à toute heure, les drames qui se jouent d'un bout à l'autre de la planète? En quoi "mariner" dans des pronostics alarmistes ou des problèmes sans solutions va-t-il nous aider à assumer mieux nos vies et épanouir notre quotidien? Ne constate-t-on pas plutôt l'effet inverse avec une exacerbation du sentiment d'impuissance ou celle de nos peurs? Il ne s'agit bien évidemment pas de faire ici une apologie de l'ignorance ou de l'obscurantisme, ni de manquer d'empathie ou de compassion mais d'apprendre à se préserver

    - Adopter, cultiver une hygiène de vie nous aidant à gérer les différents stress que génère le climat ambiant est bien sûr une excellente solution. La Sophrologie possède les outils pour répondre à nos besoins mais on peut également renforcer son action en mettant en place d'autres stratégies. 

    - Force est de constater que grand nombre de nouvelles sont répétées régulièrement d'un diffuseur à l'autre sans plus d'enrichissement tout au long de la journée. N'y accordons alors pas plus de temps qu'il n'est utile : CHOISIR sa source d'information prend alors toute sa valeur car nous cessons de nous gaver du tout venant et ce faisant, nous affirmons notre exigence de fiabilité, précision, clarté et analyse des faits exposés. Nous développons notre droit légitime de respect pour l'individu doué d'intelligence que nous sommes et plus seulement un consommateur. 

    - Hiérarchiser nos préoccupations pour garder la bonne distance face aux différents types d'information et cesser de s'émouvoir de sujets sur lesquels nous n'avons aucune prise. Il ne s'agit pas de rester indifférent ou de manquer d'empathie ou de compassion, mais s'engouffrer dans le malheur ou la misère, à moins de s'engager dans une action précise pour y remédier, ne sera d'aucune aide ni pour les intéressés, ni pour soi-même. Déceler nos priorités nous permettra de mieux conscientiser et développer nos champs d'actions possibles ainsi que de renforcer notre statut d'acteur dans la société où nous vivons.

    - Et d'abord, prendre des nouvelles de... SOI ! Tant de personnes oublient de le faire. Cela commence dès le matin, au réveil. A peine sorties du sommeil, surtout si c'est un radio-réveil qui s'en charge, beaucoup se perdent dans l'information extérieure et sa tornade de mots et de maux... Démarrer sa journée en consultant son baromètre intérieur, en prenant conscience de la qualité de sa nuit, de sa respiration, des sensations de son corps allongé, puis assis au bord du lit et enfin debout. Se réjouir de se sentir en bonne santé ou percevoir ses fragilités (et donc se ménager si nécessaire), vivre chaque mouvement pleinement, et si on a un conjoint, des enfants, savourer leur présence, les inciter à être dans cette qualité d'accueil de soi qui permet de mieux partager chaque moment, avant que chacun ne s'éparpille dans ses activités... Savoir ce qui se passe en soi avant de savoir ce qui se passe ailleurs. Avec cette connaissance, nous n'allons pas à la rencontre des autres ni travailler dans les mêmes dispositions. Dans la continuité d'une journée plus respectueuse de soi, de son temps, de son rythme, de ses limites émotionnelles, il est déconseillé de s'abreuver d'images ou de nouvelles perturbantes avant de s'endormir. Clore sa journée sereinement pour préparer celle à venir est aussi vital pour se sentir mieux.

    - Privilégier les bonnes nouvelles, les belles découvertes, les projets optimistes... C'est un fait que dans quasiment toutes les formules d'informations quotidiennes, après avoir fait la part belle aux crises, chômages, guerres, meurtres et autres horreurs, il y a le souci de mentionner quelques réussites, de caser des sujets plus légers, voire saugrenus. Les professionnels de l'information sentent bien qu'il ne serait pas possible pour leur public de survivre à un déversement ininterrompu de plomb sans leur ménager quelques respirations. Là encore, nous pouvons décider de nous dynamiser en inversant la proportion et en donnant la dominante aux nouvelles positives, aux actions ou aux projets porteurs de solutions et d'espoir.

    Valoriser les informations porteuses de bonnes sensations et qui répondent à nos attirances, choisir le bon moment pour se consacrer à cette ouverture sur le monde, contribuent à affermir nos élans, à développer nos propres projets, à booster notre capacité d'enthousiasme. Nous regardons le monde sous un angle un peu différent du fonctionnement ordinaire. Mais c'est le même monde! Et il ne tient qu'à nous de contribuer à développer cette vision de la réalité. Priorité aux solutions concrètes! Notre intérêt, notre soutien, portent également davantage les chances d'accomplissement de ces actions. Ainsi l'information n'existe plus seulement pour étancher notre curiosité ou nous "tenir au courant" (sur un mode de connexion positive :)) mais elle participe à l'entretien de notre sentiment d'exister et de participer activement à la création du monde dans lequel nous souhaitons vivre. F.C

    La chaîne du coeur, s'informer pour mieux agir :  http://www.lachaineducoeur.fr/infos/voir/qui-sommes-nous

    Arte Journal à 19h45 (environ 20 mn d'infos concises, analyses efficaces) : http://www.arte.tv/fr/re-voir-le-journal/6322314.html

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    Et bien sûr, je vous invite à partager vos propres sources ou informations susceptibles d'enrichir cet article! 

  • Une expérience de Bonheur, samedi 5 Avril 2014.

    Le Bonheur. Toutes les techniques, les expériences, les témoignages qui précèdent sont les outils de sa quête et les reflets de sa réalité vécue.

    Toutes les situations peuvent se prêter au Bonheur... Il n'est pas enfermé dans une bulle et tout l'Art consiste à cesser de le dissocier de sa vie, de son ordinaire. Plus on est conscient qu'il est dans chacune de nos respirations et qu'il est le possible de chacun de nos actes, plus nous nous éveillons à sa réalité et à sa force.

    Aujourd'hui, j'ai vécu un moment merveilleux, sous le grand signe du Bonheur : "je n'avais pas envie d'être ailleurs que là où j'étais". Ce moment? Tellement simple! La jouissance d'un pur ciel bleu, la caresse amicale du soleil et... Neil Young dans les oreilles! Sa musique pleine de chaleur et cet indéfinissable "humanité" qui transpire dans tous se morceaux... Connexion intime d'Être à Être, Reconnaissance... Unité retrouvée. La musique est une aile puissante! De plus, le Bonheur génère l'ouverture, autre grand signe de sa présence en nous, il ne trouve sa totale plénitude que lorsqu'il est partagé. Alors, voici un petit bout de mon Bonheur, pour vous, avec vous :)

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  • Sophrologie & littérature 7 : Pouvoir de l'instant présent

    Je reviens sur la notion d'INSTANT PRESENT car elle est fondamentale. La qualité de connection à ce que nous vivons ICI et MAINTENANT définit la qualité d'accès au plus profond de notre être, détermine la qualité de notre écoute, de notre ressenti, dans cet intime espace de manifestation et de déploiement de la VIE, qu'est notre corps. Pas de hasard si des ouvrages entiers sont consacrés à cette notion, dont cet incontournable, dont est tiré ce passage :

    "Lecture méditative 

    La clé de la liberté, c'est la présence, vous ne pouvez être libre que dans l'instant présent.

    Comment découvrir votre vie derrière vos conditions de vie actuelles
    Ce que vous appelez "votre vie" devrait s'appeler plus justement "vos conditions de vie". Il s'agit de temps psychologique, du passé et du futur. Dans le passé, certaines choses ne se sont pas déroulées comme vous le vouliez. Vous résistez encore à ce qui s'est produit alors et à ce qui est maintenant. L'espoir vous fait vivre, mais il maintient  votre attention sur le futur. Et c'est ce regard fixé sur le futur qui perpétue votre refus du présent et qui vous rend ainsi malheureux.
                       
    Lecture méditativennnnnn
    nnnnnnn   jjjjjjj 
    Oubliez un peu vos conditions de vie pendant un instant et prêtez attention à votre vie. 
    Vos conditions de vie existent dans un cadre temporel.
    Votre vie, c'est l'instant présent.
    Vos conditions de vie sont le produit du mental.
    Votre vie est réelle.
    Trouvez "le passage étroit qui vous conduit à la vie". On l'appelle l'instant présent. Vos conditions de vie sont peut-être très problématiques , ce qui est le cas de la plupart des gens, mais essayez de voir si vous avez un problème en ce moment même. Pas demain, ni dans 10 minutes, mais maintenant. Avez-vous un problème maintenant?
    Lorsque vous êtes envahi par les problèmes, il ne reste aucune place pour la nouveauté ou les solutions. Alors, chaque fois que vous le pouvez, faites un peu de place à tout cela et vous trouverez votre vie qui se cache derrière vos conditions de vie."   
       
    Extrait de "Mettre en pratique le pouvoir du moment présent" de Eckart TOLLE, éd. J'ai lu  
     jjkkjhh
    Après le succès phénoménal du "Pouvoir du moment présent", l'auteur nous a offert cette suite, avec une approche plus concrète, afin d'aider ses nombreux lecteurs à dépasser l'adhésion intellectuelle et à appliquer plus facilement l'objet de ses reflexions. 
    Certes, les exercices proposés sont intéressants et justes mais je ne peux m'empêcher d'imaginer la difficulté de leur mise en place pour une personne non initiée à ce type d'approche, peut-être seule dans sa démarche... Car rien n'est plus simple et pourtant plus difficile, que d'être complètement là, sans pensées, sentiments ou émotions parasites.
    Pour donner au néophyte une idée plus précise de ce que peut apporter la SOPHROLOGIE, je dirai que ses techniques peuvent l'aider (entre autre) à développer cette qualité de présence, d'attention et de concentration si bien évoquées par E. TOLLE dans ses ouvrages. C'est un processus qui se met en place, plus ou moins rapide selon chaque individu, au gré de techniques très précises auxquelles chacun peut aisément se référer dès que nécessaire, selon les situations de la vie quotidienne. L'enjeu est également là, puisqu'on ne vit pas sous cloche, son bouquin, aussi inspirant soit-il, à la main...
    Les techniques sont simples et, comme certains des exercices mentionnés par E. TOLLE, s'appuient sur notre principal outilnotre corps.mmmmmmmmm
    mmmmmm
    PouvoirPratiq 1
     
     

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  • Sophrologie & littérature 6 : Rayonnez la beauté

    Nous sommes tous des créateurs. Et plus nous affinons nos perceptions, nos outils, plus nous réalisons de belles créations. Plus nous sommes connectés à nous-même, plus nous entrons en relation avec le monde, harmonieusement, de façon constructive. 

    Envie de partager avec vous un texte qui, je trouve, explique très simplement cette démarche et laisse percevoir le rôle que nous avons à tenir dans le grand assemblage du monde.

    "L'artiste par excellence est celui qui a pris comme matière à sculpter sa propre chair, comme toile à peindre son visage et son corps, comme livre à écrire son être tout entier, par ses pensées et ses sentiments. Il veut que sa beauté et l'harmonie de la création passent à travers lui. Cet artiste crée l'art de la nouvelle culture qui vient.

    La beauté est une chose vivante dont la source reste cachée au plus profond de l'être, mais qui jaillit et se déverse jusqu'à la surface du corps, inondant la peau, le regard, le sourire et même la voix. Mais seules les pensées lumineuses et les sentiments d'amour désintéressé peuvent créer la beauté. A ce moment-là rien ne peut empêcher le rayonnement à travers vous du parfum des fleurs qui s'ouvrent et des fruits qui mûrissent dans le jardin de votre âme."

    Extrait de "Le Message de la Fleur - Les sentiers de la métamorphoses" d'après l'oeuvre d'Omraam Mikhaël Aïvanhov, éd. PROSVETA

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  • De la magie dans nos fêtes

    Vivons la magie de cette période de fêtes et laissons-nous porter par un extrait de la magnifique bande-son de Bruno Coulais! (créee pour le film d'animation "Coraline")

    Vous avez aimé? Pour en écouter davantage, suivez le lien (youtube): https://www.youtube.com/watch?v=J8ry1f_3Lsk&list=PLDCD67CE98D531DCE

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  • Article: La Sophrologie caycédienne

    Parce que je suis issue d'une école caycédienne, je partage aujourd'hui un article paru sur le site www.doctissimo.fr, qui présente la sophrologie caycédienne, c'est à dire la sophrologie respectueuse des fondements de son créateur, le professeur Alfonso Caycedo. Cet article a le mérite d'être concis et présente la nouvelle définition, plus claire et plus accessible, qu'en donne Natalia Caycedo, qui a pris la relève de son père pour diriger ce grand navire. 

    http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/medecines-douces/articles/15927-sophrologie-caycedienne.htm

    Je souhaite juste apporter quelques nuances à cet article, parce qu'elles définissent également la sophrologue que je suis.

    - Je suis tout à fait d'accord avec l'énoncé que la sophrologie est incompatible avec la passivité. L'expérience me démontre régulièrement que si une personne vient en attendant tout de son sophrologue, sans s'engager, c'est à dire en ne pratiquant pas un minimum les techniques qui lui sont communiquées, rien ne se passera... ou pas grand chose. Il faut être très clair sur ce point. Cela n'a rien à voir avec les qualités ou les capacités que l'on croit avoir, ou pas, mais plutôt avec le niveau de désir que l'on a d'évoluer

    - D'autre part, un point m'égratigne dans cet article, qui touche à la perception que l'on a des gens qui viennent à nous, sophrologues: l'article dit qu'ils sont pour nous des "clients" et non des "patients". Je ne peux acquiescer. Comme le mentionne l'article, la relation qui lie un sophrologue à son interlocuteur s'appelle " l'alliance sophronique ". Elle est basée sur la confiance et la bienveillance. Je ressens difficilement ces valeurs dans le terme de "client", qui ne valorise pour moi que l'aspect financier du service rendu, alors que "patient" me semble plus respectueux de ces notions fondamentales, y ajoutant celle de la "patience" et à travers elle, la notion d'évolution. Sans être médecin, je crois qu'être sophrologue ne se limite pas qu'à une simple transaction...

    - Pour finir, un dernier point concernant les contre-indications: Il n'y en a quasiment pas sauf une: la condition d'être en possession de sa conscience! Puisque nous travaillons par elle, sur elle-même! Ainsi, quelqu'un en état d'ébriété ne sera donc pas apte à suivre une séance de sophrologie... entre autres exemples.

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  • Article : Sectes, quand elles s'attaquent à notre santé


    Voici un article intéressant paru le 16/04/2013 sur le blog d'Essentiel Santé Magazine, sur les signes de dérive (concernant toutes les pratiques) qui doivent vous alerter...


    J'espère à cette occasion faire comprendre à ceux qui le croiraient encore (heureusement, ils sont de moins en moins nombreux), que la Sophrologie n'a jamais rien eu à voir avec une secte, et qu'elle a été victime, lors de scandales il y a quelques années, d'une confusion de son nom avec celui, phonétiquement proche, d'un mouvement sectaire que je ne nommerai pas pour éviter sa publicité, ainsi que du tort causé par certains praticiens fantaisistes auto-proclamés. Bien au contraire de l'emprise, parmi les valeurs défendues par la Sophrologie, on trouve la connaissance et l'autonomie auxquelles chacun a droit pour vivre sa pleine existence. Un sophrologue se détournant de ces valeurs, ne pratique plus la Sophrologie! 

    Petite mise au point : un sophrologue n'est pas habilité à prescrire ni à modifier un traitement médical (sauf s'il est également médecin); la Sophrologie est apolitique et laïque (vous entraîner dans un mouvement ou croyance quelquonques est contraire à son éthique); elle ne comprend pas de massages (sauf si le praticien l'associe à sa spécialité de kiné par exemple); elle n'implique pas de contact physique avec le sophrologue, ni de se dénuder;  elle peut se pratiquer parallèlement à d'autres disciplines et ne nécessite aucune exclusivité (au contraire, elle se révèle souvent très complémentaire!); le tarif des séances est établi au début de la cure et aucune dépense ultérieure n'est à prévoir (pas d'accessoires); enfin comme pour toute discipline, un sophrologue reçoit une formation spécifique, vous pouvez demander à voir ses références. 

    Et pour finir de vous en convaincre, vous n'avez qu'à essayer au moins une fois... si vous y prenez goût, vous restez libre d'arrêter quand VOUS le décidez.

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  • Une VOIx pour un VOYage intérieur

    Portés par "l'En-chanteuse" Sainkho Namtchylak...

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